Le rire et la vérité

Ils « s’imaginent être des cruches », ils sont sûrs d’« avoir un corps de verre ». Ils se croient « des rois lorsqu’ils sont très pauvres », ils assurent qu’ils sont vêtus d’or et de pourpre, lorsqu’ils sont tout nus »[1]. Qui sont ces drôles de créatures qui semblent être sorties des toiles de Jérôme Bosch ? Dans ses Méditations métaphysiques, Descartes les baptise « les insensés »[2], c’est-à-dire ceux qui ont perdu le sens et la raison. À l’époque de la Renaissance, ils faisaient partie des personnages carnavalesques, parmi les bouffons, les clowns et autres « fools » (comme nous nous en souvenons, ce mot anglais provient du français « fou » qui, à son tour, est dérivé du latin « follis » qui a des connotations phalliques).

Dans sa quête d’une certitude inébranlable, Descartes a pris de la distance par rapport à ces ex-centriques amusants qui délimitent, par leur existence-même, les frontières de la raison humaine. C’est justement cette ex-tériorité à la raison qui les rend tellement risibles : pour la philosophie depuis Aristote le γελοῖον (ridicule ou comique, engendrant le rire) relève de l’ἁμαρτία, c’est-à-dire de la faute ou de l’erreur[3]. Ainsi, l’envie de Descartes d’éviter la compagnie des cruches ambulantes et des rois de verre dépasse les intérêts de son amour-propre. Quand on a l’intention d’instaurer la méthode qui permettrait de « bien conduire la raison et chercher la vérité dans les sciences »[4], on ne veut pas être parmi ceux qui se trompent.

Or, Descartes va plus loin que son vénérable collègue grec. Dans son article « La science et la vérité »[5], Jacques Lacan démontre que la démarche cartésienne marque une étape décisive dans le devenir de La science qui ne s’inscrit plus dans le cadre de la juste mesure aristotélicienne. La méthode de Descartes déblaie, avec l’élégance d’un bulldozer, le champ labouré par les métaphysiciens et les scolastiques des siècles avant lui. Désormais, comme le note Lacan, la Vérité sera disjointe du Savoir : les planètes ne parleront plus, en se transformant en rochers géants et muets, soumis à la loi formelle de la gravitation.

Cependant, Descartes n’aurait pas réussi cette aventure tout seul. Il a un partenaire très solide, le dieu formel « des philosophes et des savants »[6] qui n’est pas capable de mentir. Mortellement sérieux comme ces rochers qui baladent dans « le silence éternel des espaces infinis, dont s’effrayait Pascal »[7], il sert de garant fiable pour la raison. Ce dieu est censé neutraliser le « mauvais génie » qui est apte à employer « toute son industrie »[8] pour nous faire croire en tout ce qu’il voudrait.

Par ailleurs, ce grand moqueur qui prend un plaisir particulier à « scandaliser » [9] les croyants en apparaissant sous les espèces du sur-moi ironique semble représenter le côté obscur du Dieu du savoir. À l’ère du capitalisme et du rire enregistré, cette ironie fait un retour sous la forme du rictus sardonique du terroriste qui se met au service d’un Dieu capricieux et déchaîné qui ne garantie rien sauf sa jouissance obscène. En effet, la religion, comme nous le fait remarquer Lacan, se trouve souvent en relation de complicité avec le discours de la science. Elle accueille ce qui a été forclos suite à l’opération cartésienne : « le religieux laisse à Dieu la charge de la cause mais […] il coupe là son propre accès à la vérité […] [il] installe ainsi la vérité en un statut de culpabilité »[10].

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Il est curieux que, dans la tradition chrétienne, le rire aille aussi main dans la main avec la culpabilité liée au péché originel. Il est approprié de mentionner le fait que la notion aristotélicienne de l’ἁμαρτία évoquée plus haut acquiert, dans le contexte des Évangiles, de nouveaux harmoniques : ce que « le maître de ceux qui savent »[11] comprenait comme une « erreur » se ferait substituer par le signifiant beaucoup plus éloquent, celui du « péché ». Ce n’est pas par hasard que les Pères de l’Église répètent inlassablement que le Christ n’a jamais ri[12]. Il suffirait de jeter un regard sur l’iconographie du rire pour s’assurer de la justesse de cette assertion. Le rire est toujours interprété en termes de sacrilège et de blasphème car il dénude ce qui doit être voilé, comme par exemple les organes génitaux de Noé ivre. Le rire s’oppose au sourire qui est propre à l’innocence avant la chute originelle, c’est-à-dire aux anges et aux enfants.

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Après avoir effleuré la question de la relation entre le rire et la vérité au sein de la science et de la religion, tournons-nous vers le champ des sciences humaines, tellement critiqué par Lacan. « On sait ma répugnance de toujours pour l’appellation de sciences humaines, l’appellation qui me semble être l’appel même de la servitude »[13], déclare-t-il. Le mot « servitude » semble pourtant paradoxal dans le contexte de la psychologie qui met en exergue l’idée du « moi » autonome et de la nature créative de la personnalité. Avant de passer à cet individu psychologique, à l’Homme qui, comme s’exclame un personnage du roman de Gorki, « sonne …fier »[14], consacrons quelques mots à un important essai de Charles Baudelaire sur « l’essence du rire »[15].

Comme les Pères de l’Église avant lui, le poète insiste sur la nature diabolique du rire et la distingue nettement de l’innocence du sourire angélique qu’il assimile au « balancement de queue des chiens » ou au « ronron des chats ». Or, Baudelaire projette le satanisme en question sur le plan intersubjectif. Il hérite ici du courant prépondérant de la pensée qui assimile le rire à la dérision (« ridere est deridere », comme dit l’aphorisme latin). Le mauvais génie serait ainsi celui qui met en jeu la tentation de l’orgueil. Par conséquent, le sentiment illusoire de supériorité inspiré par l’Antéchrist ironique fait un homme se moquer de son semblable. Baudelaire trouve le comble de cet orgueil chez les patients des hôpitaux psychiatriques dont l’orgueil démesuré les fait croire « qu’ils sont des rois lorsqu’ils sont très pauvres ; qu’ils sont vêtus d’or et de pourpre lorsqu’ils sont tout nus »[16].

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Selon Baudelaire, le rire au dépens du semblable (axe horizontal) se met en contradiction avec le savoir absolu (axe vertical) : « aux yeux de Celui qui sait tout et qui peut tout, le comique n’est pas »[17]. Mais est-ce que ledit comique est incompatible avec la vérité de la nature humaine, de la nature déchue et « divisée », comme l’affirme le poète, par le péché originel ? Baudelaire, ce poète maudit déchiré entre le divin et le diabolique, ne donne pas de réponse univoque à cette question.

L’âme incomparablement plus posée et équilibrée, celle du philosophe-spiritualiste Henri Bergson apaise l’incertitude fiévreuse de l’auteur des Fleurs du mal. Dans son œuvre classique qui constitue la référence obligatoire pour chaque recherche portant sur le sujet du rire, le penseur sépare nettement le rire de la vérité. Si le premier relève de la vie sociale et du « mondain », alors la seconde appartient au domaine de l’individuel et du spirituel.

Bergson épure le rire de toutes les harmoniques démoniques, tout en gardant sa dimension métaphysique, « verticale ». Cependant, le Dieu moqueur sera remplacé par la société ou, comme le formule le philosophe, par la « paroisse »[18]. Ainsi, Bergson met l’accent sur le côté humoristique[19] du rire. Autrement dit, ce rire vise à maintenir le statu quo dans la paroisse, à protéger ses idéaux et non à les détruire, comme le fait le mauvais génie. Selon Bergson, le comique a pour fonction de rappeler dans le sein de la société ceux qui s’en sont éloignés et de « réadapter chacun à tous »[20].

Le penseur définit l’essence du comique comme « du mécanique plaqué sur du vivant »[21]. On rit quand l’automatisme de l’habitude prend le dessus sur la souplesse qui serait propre à l’esprit. Par ailleurs, ces rituels quotidiens constituent la condition de notre survie ; sans ce « voile » salvateur des stéréotypes nous péririons dans cette vallée de larmes. Or, cela nous expose au risque de nous figer dans la routine et de livrer notre volonté à la merci du comportement robotisé. Le rire « humoristique » servirait ainsi de signal d’alarme qui nous arrache de cet état de somnambulisme. Sinon, nous courons le risque de croire que nous sommes les cruches royales ! Dieu nous en préserve !

Quoi qu’il en soit, le chemin vers la vérité qui, pour Bergson, équivaut au réel (c’est-à-dire au « vivant » non altéré par le « mécanique ») ne passerait pas par le comique. La vérité rompant avec « la convention utile », nous y accédons seulement par l’art. Le comique, selon Bergson, ne relève pas de l’art à proprement parler car trop imprégné dans le social. Le vrai art, en revanche, nous offre une « pureté de perception » impossible sans un certain « désintéressement » propre de l’idéalisme. « C’est à force d’idéalité […] qu’on reprend contact avec la réalité »[22], note Bergson.

Bergson a certainement vu le tableau de Jules Lefebvre qui s’appelle tout simplement La Vérité (1870). Cette image appartient à une vénérable tradition allégorique qui représente la Vérité sous les traits d’une belle femme dénudée. Son corps blanc de déesse antique rayonne d’une beauté chaste et fière. La Vérité est armée non seulement de sa nudité mais aussi par un outil brillant qu’elle tient à la main. Souvent, il s’agit d’un miroir qui reflète les rayons solaires. Le message semble être clair : la Vérité dévoilée est désirable et sublime en même temps. Cette allégorie reflète bien l’idée de Bergson de la vérité qui n’est accessible que par la voie de l’idéal.

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Ce ne serait pas du tout la voie royale que nous indique le fondateur de la psychanalyse. Pour cerner la tension entre le rire et la vérité en psychanalyse, nous devrions porter notre attention sur un autre détail du tableau. Le cratère d’un puits noircissant au fond de l’image est un attribut important de l’allégorie qui se perd en arrière plan, oblitéré par l’abondance de l’idéal. Son œil aveugle s’oppose à cette lumière éclatante dévoilée.

Il se peut que, pour le psychanalyste, ce « lieu malséant voire malodorant »[23] cache quelque chose de plus précieux que le corps séduisant de la Vérité idéalisée dont la beauté ne porterait pas de traces du péché originel. C’est justement dans un puits comme celui-ci que des marchands madianites ont trouvé Joseph, fils de Jacob, qui deviendra, par la suite, un interprète des rêves du pharaon lui-même. Mais avant cela il a dû refuser les avances de Zouleïkha, de la femme de Potiphar, qui, désespérée de séduire le jeune et beau juif, utilisa une arme de dernier recours et ôta ses habits, comme l’héroïne du tableau de Lefebvre. Cette dernière non plus n’est probablement pas aussi pure et chaste qu’elle ne le prétend. Allez savoir qui lui a servi de modèle ! Peut-être était-elle l’une des nombreuses connaissances du collègue de Lefebvre, le Comte de Toulouse-Lautrec ? En effet, la vérité qui intéresse la psychanalyse n’est pas étrangère à la jouissance, elle y est ancrée. « La vérité est la petite sœur de la jouissance »[24], souligne Lacan dans le séminaire « L’envers de la psychanalyse ».

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Mais tournons-nous vers le trou caché derrière le corps blanc de Mme V. Se peut-il qu’il s’agisse là de la descente au royaume souterrain du dieu Hadès ? Dans l’épigraphe pour son œuvre inaugurale, Traumdeutung, Freud avertit ses lecteurs qu’il remuera les Enfers : flectere si nequeo superos, Acheronta movebo[25]. D’ailleurs, la métaphore du terrier du lapin blanc dans lequel Alice s’engouffre nous semble plus appropriée : il s’agit de l’Autre scène, ex-centrique par rapport aux idéaux et à la raison qui ne prend pas en compte « la vérité comme cause »[26]. Quoi qu’il en soit, les rois des cruches en exil se sentent ici bien à l’aise.

À quoi ressemble cette Autre scène souterraine ? À la grotte de Lascaux qui a gardé les traces de premiers pas de l’Humanité ? Ou bien à la caverne de Platon ? Que signifient ces pantomimes projetés sur ses murs par un théâtre d’ombres inconnu ? « C’est du charabia », dit le sur-moi scientifique. « C’est du mécanique plaqué sur du vivant », précise le philosophe spiritualiste. « C’est un rebus dont le sens est à retrouver », leur objecte Freud. Ergo, nous aurons besoin de l’aide d’un spécialiste des charades oniriques ! Être accompagnés dans notre descente dans le puits de la vérité par le plus fameux interprète des rêves, Joseph fils de Jacob, est une bonne chose.

Ce juif ingénieux connaît la science des songes sur le bout des doigts. Peut-il nous transmettre son art ? Dès que nous aurons compris son algorithme, nous créerons une application pour smartphone qui interprétera notre inconscient sans peine. Bonne idée pour une start-up, n’est-ce pas ? On appellera ce logiciel « Joseph 2016 » pour iPharaon ou bien « Android Supposé Savoir », version complète, non circoncise. Il déchiffrera vos rêves, lapsus et symptômes, en vous proposant les voies royales pour l’accomplissement de soi : « il vous est hautement recommandé d’avoir au moins cinq rapports sexuels par semaine, d’accoucher un bébé, de faire votre coming out et de changer de sexe ».

Or, vous avez beau mettre votre application à jour, elle ne fonctionnera jamais comme il faut. Il y a un obstacle incontournable, l’ἁμαρτία irrémédiable qui sabotera toujours votre épanouissement personnel idéal. Cette ἁμαρτία est absolument particulière car il ne s’agit pas d’une erreur qui s’inscrit dans l’opposition vrai/faux. D’ailleurs, elle ne se situe pas du côté du sujet, le péché originel, il est à l’Autre. S(Ⱥ), comme le dénote Lacan sur son graphe du désir, le trou dans l’Autre, sert quand même de garant mais pas du « silence éternel des espaces infinis, dont s’effrayait Pascal »[27] mais de la vérité sur la vie. C’est n’est pas le Dieu des philosophes, ni le Christ (qui n’a jamais ri) qui seront patrons de cette vérité mais plutôt Dionysos armée du phallus postiche.

C’est justement dans le creux du S(Ⱥ) que le sujet « divisé entre le savoir et la vérité »[28] loge son être. Le spectacle qu’une troupe de comédiens embauchée par le Prince Hamlet projette sur l’intérieur de la grotte de Vénus, c’est le savoir inconscient (les soi-disant théories sexuelles infantiles) qui se construit autour de l’énigme du désir de l’Autre. La pièce se répète sans cesse : les efforts du « Joseph 2016 » omniscient aboutiront à l’échec. L’analyste opère autrement : au lieu de nourrir avec le sens le savoir inconscient, il se met à la place de l’ἁμαρτία primordiale. Par le biais du transfert il remet en question le scénario tragique du spectacle inconscient et facilite la séparation du sujet de son savoir en découvrant, par cela même, « la dimension bénie de l’ingratitude »[29].

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« Le rire est justement lié à ce que j’ai appelé […] l’au-delà, l’au-delà de l’immédiat, l’au-delà de toute demande »[30], note Lacan. Lors de la cure analytique, nous n’avons accès à cet au-delà que par le biais du Witz, du trait d’esprit. Aussi utiles qu’ils soient, les conseils du « Joseph 2016 » ne possèderont jamais cette « dit-mension »[31] propre à la vérité qui n’est pas que « mi-dite »[32] et qui n’est pas en dehors du transfert. Ainsi, voyons-nous que le rire dans ce contexte n’est pas une dérision ni un appel aux normes de la « paroisse ». Il nous renvoie plutôt à la vérité qui ne peut être réfutée.

Pour conclure, je voudrais évoquer une autre œuvre allégorique créée à peu près à la même période que le tableau de Lefebvre. Ce n’est pas un secret que Lacan puisait son inspiration dans L’Origine du monde de Gustave Courbet (qui, de nos jours, fait partie de la collection du musée d’Orsay, comme la Vérité du peintre académique). Cette image nous fait penser à la « performance » que Baubố joue pour Déméter. Son geste obscène nous renvoie à l’élément qui manque aux théories infantiles. C’est justement le dévoilement de ce trou de la vérité qui fait rire la déesse inconsolable.

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Grigory Arkhipov,

Rennes, 2016

 

 

[1] DESCARTES R., Œuvres de Descartes, Méditations métaphysiques, Paris : Charpentier, 1860

[2] Ibidem

[3] JAULIN A., « Le rire logique : usages de geloion chez Aristote », in Desclos M.-L. (dir), Le rire des Grecs. Anthropologie du rire en Grèce ancienne, Grenoble, 2000

[4] DESCARTES R., Discours de la méthode pour bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences ; Paris : P.U.F. 1987.

[5] LACAN J., « La science et la vérité », in Écrits, Paris, Seuil, 1966

[6] PASCAL B., Les Pensées de Pascal (édition électronique © http://www.penseesdepascal.fr)

[7] LACAN J., Le séminaire livre II, Le moi dans la théorie de Freud et dans la technique de la psychanalyse, Paris : Seuil, 2015

[8] DESCARTES R., Œuvres de Descartes, Méditations métaphysiques, Paris : Charpentier, 1860

[9] MATTHIEU, 18:6

[10] LACAN J., « La science et la vérité », in Écrits, Paris, Seuil, 1966

[11] C’est ainsi que Dante nomme Aristote dans sa Divine Comédie.

[12] « Le Seigneur Lui-même a bien voulu éprouver tous les sentiments inséparables de la nature humaine et montrer Sa vertu dans la fatigue, par exemple, ou dans la compassion envers les malheureux mais, comme l’attestent les récits évangéliques, Il n’a jamais cédé au rire ; bien plus, Il se lamente sur ceux qui rient. » (St. Basile).

« Jésus-Christ (…) appelle heureux ceux qui pleurent et malheureux ceux qui rient. L’église n’est point un théâtre et nous ne nous y assemblons point pour rire aux éclats mais pour gémir et pour acquérir un royaume par nos pleurs et par nos soupirs (…) Les divertissements ne sont pas un don de Dieu mais du diable. » (Jean Chrysostome).

[13] LACAN J., « La science et la vérité », in Écrits, Paris, Seuil, 1966

[14] GORKI M., Les Bas-fonds, L’Arche, 1997

[15] BAUDELAIRE C., « De l’essence du rire : Et généralement Du comique dans les arts plastiques », https://fr.wikisource.org/wiki/De_l%E2%80%99essence_du_rire

[16] DESCARTES R., Œuvres de Descartes, Méditations métaphysiques, rédacteur Jules Simon, Paris : Charpentier, 1860

[17] BAUDELAIRE C., « De l’essence du rire »

[18] BERGSON H., Le Rire : essai sur la signification du comique, Paris, Quadrige, PUF, 13ème édition, 2007

[19] MILLER J.-A., « Clinique ironique, in La Cause freudienne », n° 23, février 1993

[20] BERGSON H., Le Rire : essai sur la signification du comique, Paris, Quadrige, PUF, 13ème édition, 2007

[21] Ibidem

[22] BERGSON H., Le Rire : essai sur la signification du comique, Paris, Quadrige, PUF, 13ème édition, 2007

[23] LACAN J., « La chose freudienne », in Écrits, Paris, Seuil, 1966

[24] LACAN J., Le séminaire livre XVII, L’envers de la psychanalyse, Paris : Seuil, 1991

[25] FREUD S., L’Interprétation des rêves, Paris : PUF, 2003

[26] LACAN J., « La science et la vérité », in Écrits, Paris, Seuil, 1966

[27] LACAN J., Le séminaire livre II

[28] LACAN J., « La science et la vérité », in Écrits, Paris, Seuil, 1966

[29] LACAN J., Le Séminaire, livre V, Les formations de l’inconscient, Paris, Seuil, 1998

[30] Ibidem

[31] LACAN J., « L’étourdit », in Autres écrits, Paris : Seuil, 2001

[32] LACAN J., Le séminaire, livre XX, Encore, Paris : Seuil, 1999

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